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Analyse

Le temps des affaires courantes embrume les perspectives pour les acteurs de santé

L'entrée dans une gestion des affaires courantes par les ministres fait redouter aux acteurs en santé et médico-social un nouveau (et possiblement long) détour dans la marche des réformes attendues. Décryptage sur les marges de manœuvre de l'exécutif durant cette période et sur les perspectives d'un retour à la stabilité espérée par le secteur.

Par Caroline Cordier

18 juillet 2024 à 15h52

Bien que démissionnaire, Gabriel Attal et son équipe gouvernementale sont maintenus, pour un temps indéfini, à la gestion des affaires courantes de l'État. Cela exclut a priori de proposer de nouveaux textes de loi ou des nominations politiquement sensibles. (Jeanne Accorsini/Sipa)
Bien que démissionnaire, Gabriel Attal et son équipe gouvernementale sont maintenus, pour un temps indéfini, à la gestion des affaires courantes de l'État. Cela exclut a priori de proposer de nouveaux textes de loi ou des nominations politiquement sensibles. (Jeanne Accorsini/Sipa) Droits réservés

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