Logo : Hospimedia, l'actualité des territoires de santé
Analyse

Les urgentistes ne sont pas juridiquement responsables de la tension aux urgences

Le fonctionnement dégradé que connaissent nombre de services d'urgences ne peut pas être juridiquement reproché aux urgentistes. Si responsabilité administrative ou pénale il y a, elle pèse plutôt sur l'établissement et son directeur. Mais pour assurer leurs arrières, les médecins doivent tracer minutieusement les faits et alertes à la hiérarchie.

Par Thomas Quéguiner

26 août 2024 à 12h54

Malgré la tension vécue cet été encore aux urgences, le taux de sinistralité des urgentistes reste globalement stable et nettement en deçà de la moyenne des médecins. Par contre, le moindre incident a un fort potentiel polémique et émotionnel. (Calmettes/BSIP)
Malgré la tension vécue cet été encore aux urgences, le taux de sinistralité des urgentistes reste globalement stable et nettement en deçà de la moyenne des médecins. Par contre, le moindre incident a un fort potentiel polémique et émotionnel. (Calmettes/BSIP) Droits réservés

Le contexte prégnant depuis plusieurs étés d'organisation dégradée des urgences présente indéniablement un risque dans l'exercice de l'urgentiste. Pour…

Découvrez Hospimedia pendant 7 jours, c’est gratuit et sans engagementVous avez déjà un compte ? Se connecter

Profitez d'un accès gratuit pendant 7 jours

Cette adresse e-email vous permettra de recevoir l'édition quotidienne d'HOSPIMEDIA et d'accéder à tous les contenus sur le site. Votre adresse email ne sera jamais communiquée à un tiers.

Le média en ligne indépendant des décideurs de la santé

  • La couverture complète des enjeux des territoires de santé, du sanitaire au médico-social.

  • Une édition synthétique envoyée chaque matin par email et un site mis à jour en temps réel.

  • Des contenus professionnalisants sur plus de 30 thématiques

  • Un accompagnement des managers et des gestionnaires dans leurs prises de décisions depuis plus de 20 ans.

Pourquoi ils nous lisent...