Cette mi-janvier, une deuxième greffe du visage a été réalisée à l'Hôpital européen Georges-Pompidou sur un patient en rejet chronique. Relatée après tout juste trois jours dans un journal, avec l'identité du receveur et des précisions sur le donneur, l'information contrevient au principe de l'anonymat pour l'AP-HP et l'Agence de la biomédecine.L'Assistance publique-hôpitaux de Paris(AP-HP) a décidé d'ouvrir une enquête administrative pour rechercher l'origine d'une "violation élémentaire du…