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Proches du patient ou de son environnement

Des vigilances moins connues mais indispensables

A côté de vigilances connues comme l’hémovigilance, la pharmacovigilance ou encore la matériovigilance (voir nos dossiers relatifs à ces sujets) se trouve un ensemble de vigilances sanitaires qui visent à améliorer la qualité des soins dispensés dans les établissements de santé. Certaines, relatives à une bonne gestion du matériel, permettent de mieux encadrer l’environnement du patient ; d’autres, impliquées au plus près du malade assurent la sécurité sanitaire des actes.

Publié le 12 mai 2003 à 12h41

Sommaire

L’anesthésiovigilance consiste à observer la période encadrant une opération et à gérer le risque anesthésique. Ainsi, elle permet à la fois de définir le risque dit « acceptable » et les méthodes à mettre en œuvre pour aboutir à une meilleure maîtrise du risque.
Publié le 12 mai 2003
La réactovigilance consiste à recueillir et à évaluer les éventuels dysfonctionnements ou défaillances des caractéristiques des dispositifs médicaux, qui peuvent entraîner un risque de résultat erroné ou néfaste pour l’utilisateur.
Publié le 12 mai 2003
Cette vigilance a pour objet la surveillance des effets toxiques pour l’homme d’un produit, d’une substance ou d’une pollution aux fins de mener des actions d’alerte, de prévention de formation et d’information*.
Publié le 12 mai 2003
La biovigilance assure la sécurité sanitaire des éléments du corps humain utilisés chez l’homme dans un but thérapeutique. Sont également visés par cette vigilance d’autres produits tels que les milieux de culture, liquides de transport, de conservation, de croissance des cellules* qui peuvent servir dans la démarche de thérapie.
Publié le 12 mai 2003
Cette vigilance concerne le risque infectieux, qu’il soit d’origine endogène (le malade s’infecte avec ses propres germes) ou exogènes (infections transmises par une autre personne ou par du matériel médical).
Publié le 12 mai 2003