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dossier
Les ordres nationaux des professions de santé

Des structures intéressantes mais pas absolues

Les médecins, les sages-femmes et les pharmaciens sont représentés et défendus par une institution ordinale. La législation et la réglementation en fixent les missions, le fonctionnement et l’organisation à différents niveaux géographiques. Mais aujourd’hui, les fonctions, pourtant nombreuses, de ces ordres ne semblent plus suffisantes aux professionnels déjà représentés. Les infirmiers abandonnent même l’idée de créer un ordre pour leur profession.

Publié le 13 juin 2003 à 09h46

Sommaire

“ La multiplicité et la dispersion des administrations compétentes placent, aujourd’hui, l’Ordre dans une position centrale : sur nombre de sujets, il se trouve bien placé pour faire valoir la synthèse des réalités et des besoins des exercices ”, explique Jean Parrot, président du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.
Publié le 13 juin 2003
Les Ordres accomplissent leurs missions par l’intermédiaire de conseils à différents échelons. Dotés de personnalité civile par la réglementation, ces conseils de l’Ordre représentent et défendent leur profession à un niveau proche des professionnels mais participent aussi à de nombreuses commissions de travail à un niveau national et international.
Publié le 13 juin 2003
Les médecins réclament une réforme de leur institution ordinale pour suivre les évolutions du secteur. Les infirmiers, quant à eux, se voient refuser la création d’un ordre national infirmier depuis plusieurs années : la plupart ont donc abandonné cette idée. La fonction de l’ordre ne semble pas adaptée au secteur paramédical.
Publié le 13 juin 2003