Des manques dans la réglementation
Deux aspects pratiques manqueraient dans la loi du 27 juin 1990, relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d'hospitalisation, ont argumenté Jean-Marie Beney et Jean-Claude Archambault*, mardi devant l'Académie de médecine. Selon eux, le psychiatre ne dispose d'aucun moyen quand un malade mental, potentiellement dangereux, décide d'arrêter son traitement à la sortie d'une hospitalisation. Quant aux malades mentaux…