Gestion des risques

Le projet de décret sur les conditions techniques de fonctionnement de l'activité de soins de traitement du cancer précise des dispositions transversales sur la qualité et des conditions particulières pour la chirurgie oncologique, la radiothérapie, la curiethérapie et les traitements médicamenteux systémiques du cancer.

Première région à avoir subi la fulgurance Omicron, l'Île-de-France affiche des données épidémiologiques quelque peu prometteuses. Pour autant, l'hôpital va encore rester sous tension pendant plusieurs semaines, en particulier côté RH, prévient la directrice générale de l'ARS, Amélie Verdier. D'où l'opération coup de poing sur les CDD infirmiers.

Deux dates ont pour l'heure été fixées par le Premier ministre pour une première levée des mesures sanitaires. La pression hospitalière déterminera néanmoins les semaines à venir. Des semaines qui seront encore chargées pour le conseil scientifique.

Un double travail de structuration de la protection civile s'impose en France et au niveau de l'Union européenne. Un rapport sénatorial pousse en ce sens avec un secrétariat d'État dédié auprès du Premier ministre, une agence et un corps européens.

Les cardiologues, les chirurgiens et anesthésistes-réanimateurs cardiaques ne sont pas insensibles aux conséquences de la mort des patients sur leur santé mentale. Une étude, menée par des praticiens de ces différentes spécialités, met l'accent sur ce tabou encore difficile à briser dans le quotidien des services hospitaliers.

Il est contre-productif de porter un jugement sur les déclarations d'événements indésirables graves associés aux soins, l'important est de s'interroger factuellement, insiste la HAS dans son rapport annuel 2020. Elle y analyse 1 081 EIGS.

L'ASN se félicite du maintien de la culture de la radioprotection à un haut niveau dans le domaine médical. L'autorité identifie néanmoins des marges de progression dans chaque activité. Elle insiste aussi sur le retour d'expériences des événements significatifs. Des travaux réglementaires se poursuivront par ailleurs en 2022.

Des "pratiques abusives". Les professionnels de santé alertent sur l'augmentation "récente et non justifiée" des frénotomies buccales sur les nourrissons. Un geste chirurgical agressif, potentiellement dangereux et donc très loin d'être anodin.