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Prévue pour cette année 2021, l'expérimentation d'une dotation populationnelle pour les activités de médecine hospitalière n'a pas démarré, en raison du prolongement de la garantie de financement. L'avant-projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2022 (à télécharger ci-dessous) ajuste le cadre de cette expérimentation. Il prévoit ainsi de décaler la publication du décret la permettant à fin mars 2022 au plus tard. Le démarrage est néanmoins attendu dès le 1^er janvier 2022 contre 2021…

Greffes exceptionnelles, hôtels hospitaliers mais aussi innovation thérapeutique. Les hôpitaux d'instruction des armées (HIA) sont écartés de ces trois dispositifs réservés aux établissements de santé, dont ils ne font pas juridiquement partie, bien que leurs missions au profit de la santé publique s'avèrent la plupart du temps comparables. Pour leur permettre de s'ouvrir à ces activités, le Gouvernement a introduit des dispositions en ce sens à l'article 29 de son avant-projet de loi de financement…

Le groupe d'hospitalisation privée Ramsay Santé a annoncé dans un communiqué ce 23 septembre l’acquisition de la société danoise WeCare Holding, un "opérateur de soins primaires" et de recrutement de personnels de santé. Cette opération s’inscrit justement dans la stratégie du groupe de renforcer cette offre de soins de premier recours, explique Ramsay Santé. Elle lui permet "d'accroître sa capacité à offrir des soins de qualité aux patients dans un environnement de travail attractif pour ses professionne…

Depuis le 26 août, le médecin général Patrick Cadot occupe les fonctions de médecin chef de l'hôpital d'instruction des armées (HIA) Legouest à Metz (Moselle). Âgé de 58 ans, celui qui a officié de 2017 à 2020 en tant que chef de la division métiers et chef opérations au sein de la direction des hôpitaux du Service de santé des armées (SSA) succède formellement au médecin général Guillaume Pelée de Saint-Maurice, nommé à ce poste à l'été 2019 mais qui depuis la mi-juillet dirige l'École du Val-de…

En France, l'atteinte du taux cible ministériel des 70% de chirurgie ambulatoire en 2022 apparaît irrémédiablement compromis. Le seuil des 60% pourrait même être bien compliqué à franchir. Selon les chiffres fournis le 21 septembre par l'Association française de chirurgie ambulatoire (Afca), le taux s'établissait à 58,61% en 2020, confirmant le fait qu'il n'y a pas eu de croissance en période de Covid-19. Ce même taux atteignait déjà 58,54% en 2019 et 57,1% en 2018. La progression sur la dernière…