Coopérations

Avec leur nouveau nom, groupe Uneos, les Hôpitaux privés de Metz entendent clarifier leur positionnement associatif et représenter leurs valeurs. Ce nouveau nom intervient au terme d'un processus de réorganisation.

L'atelier de jour de l'association Le Pré de la bataille a signé une convention avec le centre communal d'action sociale de Saint-Pierre-lès-Elbeuf afin de préparer les personnes accompagnées aux établissements gérontologiques.

Entre les parcours des communautés territoriales libérales et les filières des groupements hospitaliers, la synergie est attendue par les pouvoirs publics. Si des actions associant ville et hôpital émergent et sont jugées fonctionnelles, des interrogations sur la gouvernance et la répartition des financements pointent à l'horizon.

L'Île-de-France et l'Auvergne-Rhône-Alpes ont testé avec succès un dispositif original de formation croisée coconçu par des spécialistes et des aidants. Un dispositif qui a formé des professionnels de tous horizons apprenant ainsi à se connaître.

Alors que le gestionnaire médico-social engage le lancement de quatre expérimentations de dispositifs d'accompagnement renforcé à domicile, ses responsables évoquent le triple enjeu d'évaluation économique, technologique, et de coordination.

Les CH d'Armentières, Bailleul, Hazebrouck et Roubaix ont décidé de mettre en place une équipe territoriale publique d’urologie. Le but est d'instaurer une filière complète permettant des prises en charge hyper spécialisées.

Face à la présence de l'industrie pharmaceutique dans le cursus des étudiants en médecine, plusieurs actions sont menées dans les facultés. Ces initiatives ont plutôt tendance à être parcellaires mais pourraient gagner en ampleur. L'interdisciplinarité entre les professions est également encore absente de ces actions.

Pour le CH de la Côte-basque, l'année 2020 s'annonce "riche de projets". Plusieurs chantiers sont programmés, tandis que l'établissement met en œuvre, entre autres, un département de santé publique.

Des inaugurations d'équipements et de bâtiments sont annoncées à l'Institut du cancer de Montpellier en 2020 avec quelque 46 M€ d'investissements, incluant un budget dédié aux systèmes d'information. L'établissement renforce aussi ses partenariats.