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Dans un communiqué, la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf) détaille la position de son groupe recommandations sur l'utilisation du Bamlanivimab. Cet anticorps monoclonal, développé par Lilly, est un levier actionné par le Gouvernement pour réduire le risque de développer une forme grave de la maladie Covid-19. Cette décision publique fait déjà l'objet de critiques et de réticences (lire notre article), auxquelles s'ajoutent les remarques de la Spilf.

Selon cette dernière…

Déjà directeur général adjoint sciences et technologies à la Direction générale de la recherche et de l'innovation, Nicolas Chaillet en prend, par intérim, la direction. Annonce en a été faite en Conseil des ministres ce 10 mars, officialisée par décret publié au Journal officiel du 11 mars. Il succède à Bernard Larrouturou, dont le départ a été annoncé en novembre dernier (lire notre article).

Nicolas Chaillet est professeur à l'université de Franche-Comté. Celui qui a précédemment occupé le poste…

Le fonds Amgen France pour la science et l'humain veut ouvrir de nouvelles frontières et optimiser le parcours de vie en onco-hématologie. Son second appel à projets doit plus spécifiquement cibler l’un des trois axes de recherche suivants :

• recherche de nouveaux biomarqueurs prédictifs de toxicité et/ou d’efficacité en immunothérapie anti-tumorale ;
• compréhension des mécanismes des résistances aux thérapies ciblées ou à l'immunothérapie pour le développement de nouvelles combinaisons thérapeutiques…

Les bactéries multirésistantes sont aussi vulnérables aux virus. La piste des bactériophages fait partie des orientations possibles pour lutter contre la montée de la résistance aux antibiotiques. L'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques s'intéresse à ce sujet avec la publication d'une note qualifiant la phagothérapie de "médecine d'hier et de demain". La sénatrice et rapporteuse Catherine Procaccia (LR, Val-de-Marne) juge également qu'il s'agit d'une "médecine…

La recherche in silico et in vitro n'est pas en mesure de remplacer pleinement les modèles animaux in vivo en matière de recherche clinique. Néanmoins, les acteurs français de la recherche, académique comme industrielle, se sont engagés vers plus de transparence avec la signature d'une charte contenant quatre engagements :

• expliquer les raisons et les conditions du recours aux animaux à des fins scientifiques et réglementaires ;
• diffuser l’information auprès du grand public et des médias ;
• faciliter…