Ambulatoire

Office Santé lève 2 M€ pour étendre son offre en maisons et pôles de santé

La société bretonne Office Santé a annoncé le 21 février par communiqué une levée de fonds de 2 millions d'euros (M€) pour "accélérer son développement géographique grâce au recrutement de nouvelles compétences, et lancer son offre de services destinée aux professionnels de santé". Créée en 2011 et basée à Rennes (Ille-et-Vilaine), elle conçoit, construit et livre clés en mains des maisons et pôles de santé pluriprofessionnels.

Après la Bretagne, son activité s'est étendue à l'Île-de-France en 2016…

L'Auvergne-Rhône-Alpes a présenté sa déclinaison du plan national d'accès aux soins

Aide à l'installation, déploiement de la télémédecine, incitation aux coopérations... L'ARS Auvergne-Rhône-Alpes a profité de la visite des délégués à l'accès aux soins, ce 20 février, pour dévoiler sa déclinaison du plan national d'accès aux soins. L'occasion de présenter les priorités et actions, dont certaines sont déjà en place.

Le CHI Toulon-La Seyne devrait atteindre l'équilibre en 2017 mais exprime des craintes pour l'avenir

L'exercice budgétaire 2017 devrait approcher de l'équilibre pour le CHI Toulon-La Seyne. Mais après une période de forte croissance liée notamment à l'ouverture du nouvel hôpital Sainte-Musse, l'activité se stabilise désormais et des inquiétudes s'expriment sur les exercices futurs. L'établissement porte néanmoins "d'importants projets" en 2018.

Les CH de La Rochelle et Rochefort passeront en direction commune le 1er juillet

C'est "le projet fort de 2018", a indiqué le directeur du groupe hospitalier La Rochelle-Ré-Aunis (GHLRRA, Charente-Maritime), Alain Michel, ce 22 janvier. Le GHLRRA et le CH de Rochefort, qui coopèrent déjà notamment dans le cadre du groupement hospitalier de territoire (GHT) Atlantique 17, passeront en direction commune au 1^er juillet. "C'est un nouveau pas vers le rapprochement de ces deux hôpitaux", indique l'établissement rochelais.

Ce 26 janvier, le CH de Rochefort a, à son tour, présenté …

La région Nouvelle-Aquitaine va investir 130 millions d'euros chaque année pour la santé

Pendant quatre ans, la région Nouvelle-Aquitaine investira 130 millions d'euros chaque année pour la santé. C'est ce qu'a dévoilé ce 19 janvier la conseillère en charge de cette thématique, Françoise Jeanson. Parmi les priorités : la lutte contre la désertification médicale, la prévention, le soutien à la télémédecine et aux innovations.

Des initiatives se mettent en place pour améliorer la médecine somatique du handicap intellectuel

Les personnes en situation de handicap intellectuel sont souvent mal soignées au quotidien, faute d'être comprises par le monde médical. Pourtant des solutions existent. À l'occasion des états généraux de la déficience intellectuelle, des initiatives ont été mises en lumière. Des exemples à suivre et... à financer.

Un comité d'interface syndical va rassembler la représentation des professions de l'ambulatoire

Les cinq syndicats et intersyndicales* représentatifs des médecins libéraux ont lancé, fin novembre, un appel pour une représentation nationale des communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). Dans un communiqué commun, ils ont annoncé leur intention de se rencontrer pour présenter les statuts du regroupement des CPTS dans une fédération. Sa vocation est de réunir l'ensemble des acteurs qui souhaitent s'impliquer dans ce nouveau mode d'organisation des soins de ville. C'est désormais…

Les pouvoirs publics sont accusés de "plomber" la chirurgie ambulatoire par leur credo d'économies

Pour le compte de huit URPS, l'économiste Frédéric Brizard a étudié l'impact économique de la chirurgie ambulatoire, avec des gains avérés pour l'Assurance maladie, les établissements et les patients. Mais n'asséner que ce seul enjeu financier, comme le font selon lui les autorités, nuit à sa promotion, jusqu'à en faire "une pratique anxiogène".

L'Assurance maladie médicalise son approche pour atteindre les 70% de chirurgie ambulatoire en 2022

À 56,8%, le taux de chirurgie ambulatoire continue de croître en France mais reste encore loin du seuil cible des 70% en 2022. Tout en maintenant la mise sous entente préalable (MSAP), la Cnamts a annoncé ce 10 janvier qu'elle changeait d'approche pour miser sur la médicalisation. Un outil de datavisualisation va sous peu voir le jour.

L'Anecamsp réclame une clarification par décret du financement des prises en charge complémentaires

Bien que la Caisse nationale d'assurance maladie ait précisé au printemps dernier que la Sécurité sociale pouvait prendre en charge des soins libéraux en complément de l'action des centres d'action médico-sociale précoce (Camsp), des caisses locales font de la résistance. L'Association nationale des Camsp demande une mise au point par la loi.