Éthique

Fiche pratique

Quelles règles de base un professionnel doit-il suivre pour dialoguer avec un âgé ?

Le dialogue entre les professionnels de santé et les âgés est parfois compliqué. Divers rapports évoquent ce sujet de société. De la méconnaissance des spécificités des séniors à l'âgisme, de nombreux éléments viennent perturber la communication.

La problématique du dialogue entre âgés et professionnels interroge.

Les ordres condamnent la publication d'un annuaire de gynécologues noires

La circulation de listes de soignants "racisés" sur les réseaux sociaux suscite une levée de boucliers contre le communautarisme. Selon le Syndicat des jeunes médecins généralistes, le racisme en santé est néanmoins une réalité scientifique.

L'ordre des pédicures-podologues dénonce l'utilisation abusive du titre de pédicure

Alors que l'appellation "pédicure" est protégée par l’article L4322-1 du Code de la santé publique et tout particulièrement indissociable du mot podologue, la plateforme de rendez-vous beauté en ligne Planity l'a récemment utilisé pour évoquer des soins de manucures en institut, déplore l'ordre national des pédicures-podologues dans une note d'actualité datée du 6 août. Épinglée par l'instance ordinale, la société réplique le 31 juillet en signalant qu'elle a modifié son site et opté pour les termes…

Les sédations profondes jusqu'au décès répondent à deux objectifs bien distincts

Le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie relève deux sous-groupes dans son enquête sur les sédations profondes et continues jusqu'au décès. En réanimation, l'objectif est plutôt de parvenir à une altération de la conscience en cas d'arrêt de la ventilation. Dans les autres services, l'intention est liée au confort du patient.

En réanimation, la sédation profonde et continue vise à atteindre l'altération de la conscience pour éviter la souffrance du patient.

Des élèves de l'EHESP formulent onze recommandations sur le consentement des âgés

Renforcer la formation des professionnels sur le consentement des personnes vulnérables, créer une journée blanche dédiée aux directeurs, instaurer un forfait spécifique ou encore nommer un référent. Telles sont les propositions d'un nouveau rapport.

Les députés adoptent en deuxième lecture le projet de loi relatif à la bioéthique

L'Assemblée nationale est revenue dans les grandes lignes à la version du texte adoptée en première lecture. Les députés ont par ailleurs autorisé, sous conditions, les établissements privés commerciaux à prélever et conserver des gamètes. Ils ont également précisé la prise en charge des enfants présentant une variation du développement génital.

Les députés ont élargi aux établissements privés commerciaux, sous conditions, la conservation des gamètes.

Urgentistes et réanimateurs contestent tout triage excessif des personnes âgées

Pour les sociétés savantes de l'urgence et de l'anesthésie-réanimation (SFMU, SRLF et Sfar), pas question de laisser dire que les Ehpad et leurs résidents auraient été écartés des hôpitaux au plus fort du Covid-19. La réalité des chiffres est bien plus complexe. Hormis quelques cas ponctuels en Grand-Est, la stratégie d'admission n'a pas changé.

Le déconfinement rebat les cartes des accompagnements des personnes handicapées

Le déconfinement des personnes en situation de handicap soulève des questions éthiques : compréhension des gestes barrières, mesures coercitives, accès aux soins... Il permet aussi de tirer profit de solutions nouvelles inventées en pleine pandémie.

Pierre-Henri Bertoye reste président de la Commission de recherche sur la personne humaine

Publié dans l'édition du 25 juillet du Journal officiel, un arrêté maintient l'organisation actuelle de la Commission nationale des recherches impliquant la personne humaine (CNRIPH). Cette dernière est notamment chargée d'assurer la coordination et l'harmonisation du fonctionnement des comités de protection des personnes (CPP). Nommé en avril 2017, au moment de la mise en place de la commission instaurée par la loi Jardé, Pierre-Henri Bertoye demeure président, tandis que David Simhon continue …

Le licenciement de la lanceuse d'alerte Céline Boussié est reconnu sans cause réelle

En appel, Céline Boussié, qui s'est vue reconnaître le statut de lanceur d'alerte après avoir dénoncé des faits de maltraitance au sein d'un IME, bénéficie d'une annulation de son licenciement. Il est jugé sans cause réelle et sérieuse.