Professionnels de santé

Le ministère de la Santé compte bien reprendre courant mai au Sénat les débats parlementaires sur la proposition de loi visant à renforcer la sécurité des professionnels de santé voté l'an dernier par les députés. Objectif réaffirmé : tolérance zéro.

Un nouveau rapport, rédigé par l'Igas et rendu public ce 12 mars, place l'Agence du DPC dans l'incertitude. Dans un souci d'articuler et d'harmoniser le dispositif avec celui de la certification périodique, la mission propose de transférer le pilotage du DPC à la HAS. Le DPC serait maintenu uniquement pour les professions de santé sans ordre.

Création de modèles préopératoires, instrumentation et implant patient spécifique… L'impression 3D a déjà changé les pratiques des chirurgiens. La recherche se penche sur de nouvelles applications comme la peau artificielle en chirurgie plastique.

Le référentiel de 2011 étant dépassé et inappliqué, la Société française de médecine d'urgence et Samu-Urgences de France ont conçu un prototype mathématique proposant aux services d'urgences de calibrer leurs effectifs de médecins et d'infirmiers.

Les députés ont adopté à 142 voix pour et aucune contre la proposition de loi sur la profession d'infirmier ce 10 mars. Ils ont ajouté des mesures visant l'ouverture d'une négociation sur la rémunération et de nouvelles missions.

Cinq ans après la pandémie de Covid-19, que reste-t-il des enseignements de la crise ? La question était posée ce 11 mars dans le cadre d'un webinaire, le premier Rendez-vous de la rédaction de l'année 2025.

Thérapeutiques ou logistiques, les robots montrent leur utilité en réalisant les tâches répétitives et en allégeant les interactions humaines. Pour les acteurs de Medintechs, il ne tient qu'aux établissements de faire le pari de les intégrer à leur quotidien. Mais des questions éthiques et réglementaires se posent encore, notamment sur les données.

Une consultation est lancée pour deux mois par l'agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes à propos de la révision partielle du schéma régional de santé. Il concerne notamment la permanence de soins en établissement et la médecine d'urgence.

L'absence d'avocat durant les entretiens d'un mis en examen avec un médecin ou un psychologue expert ne porte pas atteinte aux droits de la défense, estime la Cour de cassation. Elle conforte le respect du secret médical en ces circonstances.