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Née de l'Asip Santé, l'Agence du numérique en santé a initié dès 2019 de nombreux chantiers, tels le déploiement de la e-CPS et des référentiels d'interopérabilité, ou encore le renforcement de la messagerie sécurisée de santé.

En place depuis plus de deux ans, le RGPD s'applique aux établissements sanitaires et médico-sociaux comme à tout autre organisme qui traite des données à caractère personnel. Focus sur les grands principes de ce règlement.

Moins mature sur le volet numérique, le secteur médico-social est aussi moins protégé face aux cyberattaques. Les établissements et services sont d'ailleurs de plus en plus touchés, en particulier par des rançongiciels. Le futur plan ESMS numérique devrait permettre aux structures de rattraper leur retard en la matière.

Le Comité de contrôle et de liaison Covid-19 a rendu un premier avis relatif à l'utilisation des données et aux SI mis en œuvre pour lutter contre l'épidémie. Il liste dix points d'alerte et recommandations.

Avec la responsabilité populationnelle, la FHF ambitionne de changer de paradigme avec un système proactif. Un modèle qui suppose de disposer d'un système d'information et d'organisation populationnel orienté vers le maintien en santé de la population d'un territoire. Vingt-deux propositions sont formulées dans une feuille de route.

Convergence, l'outil d'auto-évaluation destiné aux industriels des secteurs sanitaire et médico-social, est en ligne. Il leur permet de mesurer la conformité de leurs solutions par rapport aux principes d'urbanisation et d'interopérabilité.

L'Agence du numérique en santé dédie ce mois de septembre à la messagerie sécurisée de santé. L'occasion de faire le point avec Hospimedia sur les avancées de ce dispositif. La généralisation au médico-social est prévue au printemps prochain. Et une nouvelle cible se dessine au travers des usagers.

"Engagé pour la e-santé". C'est le titre de la charte que viennent de signer 235 industriels avec la délégation du numérique en santé. Huit engagements sont prévus.

Un niveau global satisfaisant mais aussi des mauvaises pratiques. C'est le constat fait dans son dernier avis par la Cnil sur les dispositifs Sidep et Contact Covid.