Aidants

Ouvertes à de nouveaux porteurs et de nouveaux publics en 2021, les plateformes d'accompagnement et de répit répondent aux besoins d'information, de formation, de répit et de lien social des aidants. Nathalie Quaeybeur, directrice de structures dans les Hauts-de-France, revient pour Hospimedia sur les principaux enjeux de ces plateformes.

Le 26 septembre, France tutelle a réuni autour de la table quatre de ses mécènes afin de construire un plan d'action et de soutien aux tuteurs familiaux. Les professionnels du juridique et du médico-social seront amenés à élaborer des préconisations.

Un rapport du ministère de la Santé dresse un premier bilan du recours à l'allocation journalière de proche aidant. Alors que les demandes sont encore faibles, le recours au dispositif pourrait être amélioré par une communication plus efficiente.

Le contrat territorial de santé mentale des Ardennes, signé le 8 février 2022, a pour objectif de sortir la psychiatrie des établissements. Pour ce faire, le GHT des Ardennes a déjà mis en place plusieurs dispositifs facilitant la prise en charge.

Une recommandation de la Commission européenne sur l'accès aux soins de longue durée soutient le déploiement de plans d'actions nationaux pour développer une offre complète, accessible et de qualité. Elle vise notamment à soutenir les aidants.

L'ouverture de la validation des acquis de l'expérience aux aidants devrait permettre d'augmenter le nombre de candidats potentiels. Le projet de loi Travail prévoit aussi la comptabillisation des périodes de mise en situation professionnelle.

Les rôles des aidants et du conseil lui-même sortent renforcés des universités du Conseil national consultatif des personnes handicapées. Les premiers pourront accéder à la VAE s'ils souhaitent se diriger vers les métiers de l'aide et de l'accompagnement tandis que le second sera intégré au Conseil national de la refondation.

Une proposition de loi vise à créer un congé spécifique en cas d'enfant porteur d'une pathologie grave, notamment d'un cancer. Il étendrait le bénéfice du congé de présence parentale jusqu'aux 25 ans de l'enfant et simplifierait son obtention.

Le diagnostic d'une maladie neuro-évolutive chez une personne jeune implique pour le professionnel de santé de composer avec l'incertitude afin de répondre aux nombreux questionnements. Deux sociologues proposent de mobiliser l'éthique de l'espoir pour permettre aux malades jeunes d'anticiper l'avenir tout en menant à bien leurs projets de vie.