Handicap

Dans la droite ligne de la définition consensuelle de la maltraitance posée par la Commission de promotion de la bientraitance et de lutte contre la maltraitance, la députée Annie Vidal traduit ce travail dans une proposition de loi.

Une instruction de la DGCS officialise le cahier des charges des dispositifs d'accompagnement à la parentalité et à la périnatalité des personnes en situation de handicap. Ceux-ci devront impérativement venir en médiation et en appui du droit commun.

La DGCS publie par instruction le nouveau cahier des charges des plateformes d'accompagnement et de répit. De nouveaux porteurs, dans le champ du handicap notamment, sont autorisés à déployer ces structures, qui s'ouvrent aussi à d'autres publics.

La CNSA revoit, par décision publiée au Journal officiel de ce 12 juin, la répartition des dotations régionales limitatives des établissements et services médico-sociaux pour 2020. Celle-ci augmente de 1,1 Md€.

Le centre de rééducation et d'insertion professionnelle (Crip) de Montpellier fait partie des rares ESRP à proposer des formations sanitaires aux personnes en situation de handicap. Avec l'association OETH, il développe actuellement OA santé, une initiation à ces métiers afin de donner confiance et de confronter à la réalité.

En travaillant la professionnalisation et la sortie vers le milieu ordinaire de ses travailleurs handicapés d'Esat, l'Adapei de la Gironde a été identifiée comme un référent VAE. Sa plateforme métier pratique désormais l'inclusion inversée.

Spectateur des divergences d'opinion entre le Gouvernement et certains membres de sa mission, Denis Leguay appelle à recentrer le débat sur le fond : l'articulation de la logique d'accompagnement avec les professionnels de terrain.

Bientôt 10 000 personnes en emploi accompagné ? C'est en tout cas le nouvel objectif du Gouvernement. Lors des échanges des journées nationales de l'emploi accompagné, les acteurs du dispositif abordent avec volonté cette nouvelle étape. Entre la formation des conseillers et le fonctionnement en plateforme, de nombreux défis restent à relever.

Ce 21 mai, le Conseil d'État a condamné l'exécutif à verser 93 000 € de pénalités pour ne pas avoir publié le décret d'application de la loi de 2005. Le Gouvernement s'expose désormais à une amende majorée de 250 € par jour de retard supplémentaire.