Professionnels de santé

Catherine Busseuil devient présidente de la CME du Groupe hospitalier Portes de Provence

La Dr Catherine Busseuil, chef de service des urgences au CH de Montélimar, a été élue le 23 novembre présidente de la commission médicale d'établissement (CME) du Groupement hospitalier Portes de Provence (Drôme). Elle sera secondée par la Dr Marie-Eve Macel, anesthésiste-réanimateur.

Les objectifs du nouveau binôme féminin de cette CME, transmis à Hospimedia, sont de :

renforcer la cohésion en particulier de la communauté médicale et in fine de l'établissement ;
inciter les médecins à être proactifs…

Le Covid a boosté les coopérations en faveur des personnes polyhandicapées

La crise Covid a finalement eu moins d'impact que ce qui avait pu être craint sur la santé des personnes polyhandicapées ou atteintes de paralysie cérébrale. Elle s'est même révélée être un accélérateur des coopérations autour de leur santé.

Fiche pratique

Comment repérer la fragilité des personnes âgées ?

La problématique du repérage de la fragilité chez la personne âgée a été abordée aux dernières journées annuelles de la Société française de gériatrie et de gérontologie.

L'activité physique adaptée se présente comme un pilier de la prévention de la fragilité.

Info Hospimedia

L'Igas préconise 1 000 lits de réanimation supplémentaires mais sans en créer de nouveaux

Avec le vieillissement de la population, l'Inspection générale des affaires sociales estime que l'offre de réanimation doit augmenter de 20% d'ici 2030. Une cible possible sans nouveaux lits, sauf en outre-mer, grâce à la réduction des durées de séjour et l'armement de lits autorisés mais fermés. La priorité concerne ainsi les ressources humaines.

Le personnel représente le premier poste de dépenses en réanimation. L'Igas préconise des évaluations plus fines sur la tarification de cette activité et sur les ratios d'infirmiers par lit.

Une mobilisation s'organise le 4 décembre contre la "désintégration" de l'hôpital public

Une journée d'action nationale est prévue le 4 décembre, avec une manifestation à Paris devant le ministère de la Santé. Des dizaines d'organisations, collectifs, syndicats et associations dénoncent les dysfonctionnements de l'hôpital public.

Le transfert du Samu-Centre 15 de Nevers à Dijon sera évalué avant celui d'Auxerre

Inscrit dans le projet régional de santé de l'ARS Bourgogne-Franche-Comté, le transfert du centre de régulation du CH d'Auxerre au CHU de Dijon (Côte-d'Or) suscite l'opposition des élus de l'Yonne (lire notre article). Lors d'une séance de questions orales ce 30 novembre, la sénatrice Dominique Vérien (UC, Yonne) souligne une "décision en totale contradiction avec les réalités du terrain". "L'Yonne est un département très rural. L'efficacité des services de secours et d'urgences repose sur une connaissanc…

Des associations s'indignent de la persistance de formations non conformes sur l'autisme

L'association Personnes autistes pour une autodétermination responsable et innovante constate que sont toujours diffusées en France des formations non conformes aux dernières connaissances scientifiques. Elle demande au Gouvernement d'intervenir.

La coordination des aides à domicile, aides-soignants et infirmiers reste rare

Si des expériences de coopérations réussies existent localement, la coordination des aides à domicile, aides-soignants et infirmiers se heurte globalement à de nombreux freins. Ceux-ci sont liés à l'offre elle-même et aux financements actuels.

Rémy Loyant est réélu à la présidence de la CME du CH d'Angoulême

La nouvelle commission médicale d'établissement (CME) du CH d'Angoulême (Charente) a réélu le 22 novembre le Dr Rémy Loyant, chef de service du Samu-Smur à sa présidence, annonce l'établissement par communiqué. Il sera secondé par le Dr Cyrille Nowak, chef du pôle médico-technique, pharmacien responsable d'unité de recomposition des chimiothérapies, élu vice-président.

Les présidents et vice-présidents des deux établissements en direction commune avec le CH d'Angoulême ont également été élus, à savoir…

La réforme de l'intérim médical n'a toujours pas de date d'application mais se précise

En attendant que s'applique à l'hôpital, a priori courant 2022, le nouveau cadrage de l'intérim médical, la DGOS détaille dans une instruction les derniers préparatifs et futures modalités de contrôles et de sanctions des rémunérations. Elle y balise également la nouvelle prime de solidarité territoriale, payée 293,25 € ou 427,25 € la demi-journée.

Seuls les praticiens exerçant à temps plein sont éligibles à la nouvelle prime de solidarité territoriale (PST). Sur la base du volontariat, elle est censée favoriser les remplacements entre hôpitaux et donc limiter l'intérim en valorisant l'exercice d'une activité partagée "après accomplissement des obligations de service".