Urgences

Le CHU de Rouen fluidifie l'aval de ses urgences adultes

En réponse à une grève et à l'embolie de l'aval des urgences, la direction du CHU de Rouen détaille une série de mesures avec des lits supplémentaires. Par ailleurs, l'établissement mène une étude pilote sur le dépistage néonatal.

Les spécialistes libéraux livrent leurs pistes pour "muscler" la gestion de crise

"Casser les silos publics-privés." C'est globalement l'appel du pied sous-jacent derrière les dix recommandations du livre blanc rédigé par les médecins spécialistes libéraux et les établissements de santé privés en cas de prochaine épidémie.

Le CH d'Antibes dévoile son projet de nouvel établissement d'ici à 2030 chiffré à 67 M€

Les projets médicaux et architecturaux prévus en perspective du "nouvel hôpital d'Antibes 2030" ont été présentés par l'établissement. Trois grandes phases de travaux sont programmées pour un budget total de 67 millions d'euros.

Le CH d'Antibes lance sa modernisation avec trois phases de travaux pour un budget de 67 millions d'euros.

Une thèse de doctorat se penche sur l'attractivité médicale des services d'urgences

Alors que nombre d'hôpitaux manquent d'urgentistes, cinq facteurs clés d'attractivité se dégagent. Ils portent sur la QVT, le temps de travail hebdomadaire, l'accès à l'aval et à un plateau technique performant et la diversification de l'activité.

Deux nouvelles évacuations sanitaires de patients de Corse sont réalisées vers la Bretagne

Deux patientes de réanimation du CH de Bastia (Haute-Corse) ont été transférés le 5 janvier par évacuation sanitaire (Evasan) depuis l’aéroport de Bastia-Poretta vers l’aéroport de Brest (Finistère) pour un trajet d'un peu plus de trois heures, annonce l'ARS Corse dans un communiqué. Il s’agit de deux femmes non vaccinées âgées respectivement de 64 ans et 78 ans, porteuses de multiples comorbidités, atteints d’une forme grave de la Covid-19, intubées et ventilées, précise-t-elle. Toutes deux ont…

Le CH de Saint-Denis "déleste" ses urgences pédiatriques par manque de paramédicaux

Depuis le 3 janvier, les urgences pédiatriques du CH de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) sont "en délestage", une situation "exceptionnelle" due à plusieurs arrêts maladie soudains de paramédicaux, en particulier d'infirmiers. À ce titre, "un infirmier d'orientation et un médecin reçoivent les jeunes patients en consultation pour juger de l'urgence de la situation", souligne l'établissement francilien dans un communiqué. En fonction du diagnostic, trois possibilités sont offertes :

une hospitalisation…

Les biologistes hospitaliers expriment leur "colère" vis-à-vis du forfait âge urgences

La nouvelle forfaitisation urgences ajustée à l'âge pour tout passage non programmé non suivi d'une hospitalisation laisse un goût amer aux biologistes hospitaliers. L'impact s'annonce lourd sur l'organisation et l'économie de leurs laboratoires.

L'ARS valide le projet à 1,5 M€ de restructuration des urgences du CH de Laval

C'est désormais officiel, l'opération de restructuration des locaux des urgences du CH de Laval, devenus vétustes, commencera à la fin du premier semestre 2022. Une première étape avant la construction d'un futur centre urgences-réanimation.

Le projet comprend entre autres le réaménagement de l'accueil des urgences ainsi que la création d'espaces de travail et de repos pour le personnel.

Le Dr Pierre Metton entame un mandat de président de CME du CH Annecy-Genevois

La commission médicale d'établissement (CME) du CH Annecy-Genevois (Haute-Savoie) a élu début décembre son nouveau président. Il s'agit du Dr Pierre Metton, urgentiste de formation. Son mandat, d'une durée de quatre ans, a pris effet ce 1^er janvier. La Dr Maud Gelez, également urgentiste,est quant à elle réélue vice-présidente de l'instance.

Pierre Metton a intégré l'hôpital Sud-Léman-Valserine en 2006, en tant qu'assistant au Samu-Smur/SAU. Il poursuit ensuite son parcours sur le même site hospitalier…

Les logiciels de gestion de lits devront être pleinement opérationnels fin 2023

Covid-19 oblige, la DGOS accroît son soutien au déploiement d'outils de gestion automatisée des lits et à l'utilisation du besoin journalier minimum en lit. Sur 2020-2021, 45 M€ sont proposés aux établissements publics et privés pour sauter le pas.