Politique

Le groupe de services à la personne Oui care annonce le lancement du Lab autonomia, un centre d'études dédié au vieillissement. Il apportera un appui en interne mais également aux acteurs externes via des conférences ou des formations.

Quatre premiers projets de recherche à risque en santé ont été sélectionnés dans le cadre du programme Impact santé. Ils concernent les domaines de l'immunologie, la sécurité alimentaire, les neurosciences et la physiologie respiratoire.

Cinq axes articulent la nouvelle convention cadre de coopération qui vient d'être signée entre le CHU Amiens-Picardie et l'université Picardie-Jules-Verne. Elle renforce surtout leur relation autour de l'enseignement et de la recherche.

Désormais piloté par Expertise France, le quatrième projet réseaux et partenariats hospitaliers 2024-2027 espère faire en sorte que l'international devienne un vrai gage d'attractivité pour les hôpitaux. Si la dynamique s'opère, elle gagnerait tout de même à s'étoffer. Plusieurs évolutions ont été décidées en lien avec l'action de la DGOS.

La commission nationale consultative des droits de l'homme s'inquiète du manque d'inclusivité de l'école pour les enfants en situation de handicap. Elle recommande d'augmenter les moyens financiers et humains pour renforcer leur accompagnement.

L'examen en première lecture du projet de loi de financement la sécurité sociale s'est arrêté sans être achevé le 5 novembre. Le Sénat examinera dès le 12 novembre un texte modifié avec les options retenues par le Gouvernement.

Tableau de bord, diagnostic local, portrait de territoire, profil de santé, atlas, diagnostic, état des lieux… Les dénominations des outils proposés par les ORS sont multiples. Mais leur richesse est indispensable aux décideurs.

Le Sénat adopte la proposition de loi sur le repérage des troubles du neurodéveloppement et le répit des proches aidants, mettant ainsi fin à son parcours parlementaire. Les sénateurs insistent sur les moyens à mettre en place pour son application.

La proposition de loi visant le remboursement intégral des soins liés au cancer du sein a été adoptée par le Sénat avec des modifications. Pour éviter des inégalités de traitement, la prise en charge est recentrée sur les frais liés à la mammectomie.

Le CHU d'Angers a fait le choix de développer l'intéressement aux services pour encourager l'activité de recherche. Après avoir redistribué 1,7 million d'euros sur trois ans, il dresse un bilan et cherche à valoriser sa démarche (modalités de calcul du socle, dialogue de gestion personnalisé et contractualisé). Le tout étant transposable à tous.