Société

Le comité national d'éthique donne son feu vert à la vaccination des 5-11 ans contre le Sars-Cov-2. Il pose néanmoins plusieurs conditions, notamment sur le discours des professionnels de santé et le nécessaire soutien de la ville. Son approche ne correspond pas forcément au calendrier rapide du Gouvernement.

Une bataille locale entre public et privé pour des personnels soignants, le mal-être des étudiants infirmiers, une analyse du vaccinoscepticisme français... La rédaction d'Hospimedia a sélectionné des événements marquants de la semaine écoulée.

Ce 13 décembre, le groupe privé commercial a annoncé la création de sa fondation d'entreprise. Destinée à lutter contre les préjugés sur le grand âge et à soutenir l'intergénérationnel, elle proposera une enveloppe "ambitieuse".

Il n'y a pas de solution miracle pour lutter contre le Covid-19. C'est bien un effort collectif et une combinaison de mesures de prévention, de contrôle et de vaccination qui s'impose à tous.

Depuis le 31 mai 2021, le droit a évolué pour renforcer le socle décisionnel des majeurs protégés concernant les mesures touchant à leur santé. Quels actes sont concernés et comment recueillir ce consentement ?

Une instruction mise en ligne le 10 décembre propose des outils méthodologiques pour les établissements de santé, dans le cadre de l'accueil et l'accompagnement des victimes de violences conjugales, intrafamiliales ou sexuelles. L'objectif est de simplifier les démarches tout en préservant les droits des victimes.

Un nouveau vocabulaire pour faire entendre les personnes handicapées, le Viagra prometteur contre Alzheimer, une Fête des lumières virtuelle pour les résidents... La rédaction d'Hospimedia a sélectionné des événements marquants de la semaine écoulée.

Explications et vérifications sur le Covid-19, levée de plan blanc à contre-courant, soutien aux praticiens, alerte des médecins de l'AP-HP... La rédaction d'Hospimedia a sélectionné des événements marquants de la semaine écoulée.

Mis en retrait depuis deux mois par l'AP-HP, le chef du service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction de Tenon perd définitivement ses responsabilités et ses fonctions pédagogiques. L'enquête interne confirme la "maltraitance".