Pendant un mois, un camion de 45 tonnes sera installé à l'entrée du service de médecine nucléaire de l'hôpital Jacques-Monod du groupe hospitalier du Havre (Seine-Maritime). Il abrite un Tep Scan mobile qui accueillera les patients à compter du 31 mai. La prise en charge reste assurée par l'équipe médicale et paramédicale, rassure l'établissement sur son site Internet. Cet équipement mobile est loué par le groupe hospitalier pour garantir la continuité des soins et des examens pendant le remplacement…

À compter du 31 mai, plusieurs nouveautés sont à noter en matière de criblage des tests RT-PCR* du Sars-Cov-2. Dans un édito, le Syndicat national des biologistes hospitaliers (SNBH) annonce l'arrêt de la recherche du variant anglais pour se concentrer sur celle de trois mutations : 484K, 484Q et L452R. Un nouveau guide du système d'information de dépistage adaptera la nomenclature. Une version 1.2 du guide mutation va remplacer le guide variant. Le type de variant ne sera plus rentré mais uniquement…

Par communiqué, l'Association nationale des centres hospitaliers locaux et des hôpitaux de proximité (ANCHL) réagit à la publication de l'ordonnance et du décret relatifs à la réforme des hôpitaux de proximité. À propos de l'ordonnance, elle se félicite de la concertation menée qui a abouti à un "texte équilibré renforçant la raison d'être des hôpitaux de proximité puisque des missions propres leur sont attribuées". L'association fait notamment part de sa satisfaction sur la "gouvernance spécifique…

Le consortium Re-Uni, associant le Resah et Uniha, annonce dans un communiqué une commande de 1,5 milliard de gants en nitrile sur une durée de quatre ans. Plus de 80 millions d'euros sont ainsi promis. Cet engagement contractuel s'inscrit dans la stratégie de sécurisation des approvisionnements puisque ces gants seront fabriqués dans une nouvelle usine, associant les entreprises Manikheire, Kolmi et Hopen, à Bessé-sur-Braye dans la Sarthe, avec un soutien de l'État et de la région Pays de la Loire…

Dans un arrêté rendu le 20 mai 2021, la cour d'appel de Paris confirme un jugement en première instance, rendu en novembre 2013, concernant la responsabilité de la société TÜV Rheinland, l'organisme notifié qui a permis aux prothèses PIP d'obtenir le marquage CE. L'entreprise est condamnée à payer une provision de 3 000 euros aux victimes pour préjudice d'anxiété. La cour d'appel de Paris a été saisie du dossier par la Cour de cassation, qui avait cassé un arrêt de la cour d'appel d'Aix-en-Provence…