Éthique

La nouvelle gouvernance de l'ordre des médecins entend jouer un rôle de "facilitateur"

Accompagner les médecins et jouer un rôle de "facilitateur" des coopérations et de l'accès aux soins. C'est l'une des ambitions de la nouvelle gouvernance de l'ordre des médecins et de son président, le Dr François Arnault. L'équipe souhaite aussi recentrer l'ordre sur ses missions, "toutes ses missions" mais "rien que ses missions".

L'Inserm travaille sa communication pour ancrer sa crédibilité

L'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) lance ce 28 juin une campagne de communication afin de valoriser de façon simple l'utilité des recherches qu'il soutient et leur bénéfice quotidien pour la santé de chacun. "Proposer le message d'une science utile, positive, au cœur de notre vie et au service de tous, est notre enjeu principal de communication, explique Carine Delrieu, directrice de la communication de l'Inserm, citée dans un communiqué. Nous menons un travail …

L'usage du mot "viol" pour qualifier des examens inquiète les gynécologues

En raison de plaintes déposées contre la gynécologue et membre du Gouvernement Chrysoula Zacharopoulou, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français demande un débat autour de la qualification par le mot "viol" d'examens médicaux.

Le Dr François Arnault devient président du Conseil national de l'ordre des médecins

Après le renouvellement par moitié des conseillers nationaux le 16 juin dernier, le nouveau bureau du Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom) a désigné ce jour son nouveau président. Le Dr François Arnault est élu président de l'institution pour un mandat de trois ans. Il succède au Dr Patrick Bouet, à la tête de l'instance depuis 2013.

Médecin ORL, François Arnault a exercé pendant 35 ans dans la Vienne. Président pendant dix ans du conseil départemental de l'ordre des médecins de la Vienne…

Dr François Arnault (Ordre des médecins)

Essayer d'obtenir un consentement malgré des troubles cognitifs est une première victoire

Pour les philosophes Fabrice Gzil et Pierre Le Coz, la recherche du consentement des âgés est loin d'être systématique. Ce constat n'est pas uniquement lié à la crise sanitaire. Au quotidien, des choix sont parfois faits pour les âgés sans leur avis. Difficile d'obtenir par exemple la signature d'une personne atteinte de troubles cognitifs.

À l'heure de la promenade, doit-on chercher à obtenir le consentement du résident pour sortir ?

L'éthique et le droit ne s'opposent pas mais s'interrogent mutuellement en établissement

Lors d'une rencontre et d'un débat, la fondation Partage et vie s'est interrogée sur les tensions qui émergent entre le droit et les considérations éthiques. Ces deux notions, loin de s'opposer frontalement, se questionnent mutuellement.

Accompagner la fin de vie des personnes handicapées est complexe en institution

Lieux de vie, les établissements médico-sociaux peuvent aussi être un espace où les personnes accompagnées décèdent. Cette question, taboue dans les structures pour personnes handicapées, bénéficie d'une meilleure compréhension des acteurs.

Les soins palliatifs sont un terreau pour de nouvelles approches d'accompagnement

Si la biographie hospitalière est déjà connue dans les prises en charge de fin de vie, d'autres approches se développent en soins palliatifs autour des animaux, de la socio-esthétique ou encore de la performance artistique.

L'ANSM impose une formation à la réglementation au personnel de l'IHU de Marseille

Annoncées en avril, les mesures administratives de l'Agence nationale de sécurité du médicament sont désormais prises à l'encontre de l'institut hospitalo-universitaire Méditerranée-infection et de l'Assistance publique-hôpitaux de Marseille.

Les deux tiers des urgentistes appréhendent l'abord des proches pour un don d'organes

Quel est l'état des lieux des connaissances et des pratiques des urgentistes en matière de don d'organes ? Selon une étude présentée le 8 juin par la Dr Émilie Breillat du CH de Chinon (Indre-et-Loire), des marges de progression existent en particulier sur l'appréhension qu'ils ont à rencontrer les proches d'une victime pour aborder cette question du don d'organes : les deux tiers redoutent ce moment. Par ailleurs, seuls 51% connaissent la notion d'"abord anticipé" et 49% admettent avoir déjà re…