Gouvernement

Pour dénoncer "le processus de financiarisation en cours" dans le secteur de la santé, un député a cité plusieurs exemples à Marseille. Le Gouvernement a rappelé que des travaux étaient engagés pour évaluer les effets de ce phénomène national.

Un nouveau comité stratégique de filière voit le jour. Le secrétariat d'État au Numérique a lancé la filière dédiée aux solutions numériques de confiance, conduit par Michel Paulin, directeur d'OVHcloud. Des travaux sont attendus au prochain CNI.

Réingénierie, pratique avancée, premier recours… Malgré des annonces il y a un an, les infirmiers puériculteurs ne voient rien venir. Au lancement de leurs journées d'études, ils persévèrent et placent leurs espoirs dans les assises de la pédiatrie.

Le futur Institut national du travail social sera, selon le Gouvernement, l'une des réponses au déficit d'attractivité des métiers. Anaïs Bréaud est chargée de préfigurer cette instance autour de trois axes : la formation, la recherche et la création d'un centre de ressources. Ses propositions sont attendues pour le 1er septembre.

Tandis qu'un enfant est décédé ce 8 mai, le ministre délégué à la Santé et à la Prévention s'est rendu sur le territoire. Il a rappelé la pleine mobilisation des autorités dans la lutte contre le choléra. Au CH, il a fait le point sur les projets.

Plus de cinq mois après avoir remis officiellement au Gouvernement le livre blanc du travail social, Mathieu Klein, président du HCTS attend toujours la concrétisation des recommandations. Les acteurs du secteur réagissent.

Dans une note de la DGOS, dont Hospimedia s'est procuré copie, le statut des Padhue non lauréats des EVC et bénéficiant de la dérogation temporaire d'exercice créée par la loi Valletoux se précise. Un projet de décret en Conseil d'État va acter la création du praticien associé contractuel temporaire, qui est déjà pointé pour sa précarité.

Malgré une hausse des moyens consacrés à la politique de périnatalité et un recul des naissances, la Cour des comptes observe des résultats médiocres au plan sanitaire. Elle juge l'offre de soins inadaptée aux enjeux actuels tandis que la stratégie des 1 000 premiers jours ne prend pas assez en compte la qualité et la sécurité des soins périnataux.