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L'inclusion dans la scolarisation des enfants porteurs de handicap fait partie des enjeux nationaux en matière d'éducation. Chaque année, de nouveaux dispositifs sont créés à l'échelle locale. Bilan de cette rentrée 2019 dans les Hauts-de-France.

Classes dédiées aux enfants atteints de troubles du spectre de l'autisme, plateformes inclusives, projets professionnels personnalisés... L'ARS Île-de-France publie les dispositifs mis en place à la rentrée 2019 pour les enfants porteurs de handicap.

Le service des urgences de la Miséricorde à Caen n'accueillera plus que les patients ne présentant pas d'urgences graves et vitales. Dès le 16 septembre, il évoluera en effet en une unité de soins de jour, 7j/7 et 365j/an.

La HAS a décidé après une première visite de suivi en janvier 2019 de prolonger le sursis à statuer sur la certification du CH Philippe-Pinel d'Amiens. Deux obligations d'amélioration ont été pointées sur les droits des patients et le dossier patient. Depuis, des actions correctives ont été mises en place.

Les Hauts-de-France ont ouvert à Lille ce 5 septembre la première étape du tour de France de la e-santé. La plateforme Predice, qui proposera un bouquet de services, y a été présentée en exemple.

La réserve sanitaire est mobilisée pour garantir la prise en charge des urgences de l'hôpital Émile-Muller de Mulhouse. Un plan d'action global est mis en place par l'établissement, avec l'aide de l'ARS Grand-Est.

Entérinée par la loi HPST du 21 juillet 2009, la procédure d'appels à projets pour les établissements et services sociaux ou médico-sociaux a fait l'objet de modifications dans le cadre d'un récent décret. Le point sur la marche à suivre.

Corapporteuse du groupe de travail sur les alternatives à l'exil en Belgique de la Conférence nationale du handicap, Édith Christophe dresse pour Hospimedia les grandes lignes des recommandations qui ont fait l'unanimité sur les principes. Les moyens et le calendrier feront l'objet d'arbitrages gouvernementaux.

Pour qu'un hôpital puisse prétendre à des cessions de créances notifiées à titre d'escompte sur ses produits de l'assurance maladie, il se doit de respecter trois critères. Sont ciblés par décret la capacité d'autofinancement et le fonds de roulement, et leur évolution sur trois ans. À défaut de ces prérequis, l'accord de l'ARS est obligatoire.