Politique

Les pédiatres hospitaliers pointent l'absence d'avancée des assises de l'enfant

Annoncée lors de la saison hivernale précédente, la conclusion des assises de la santé de l'enfant est toujours attendue de pied ferme par les acteurs de santé. Dans un communiqué, le Syndicat national des pédiatres en établissement hospitalier (SNPEH) observe "peu de progrès" sur le sujet, dans une situation dégradée. "Si des mesures immédiates et efficaces ne sont pas prises, nous risquons de nous trouver dans l'incapacité de fournir les soins nécessaires à nos enfants, tant dans les services …

Le secteur plaide pour l'intégration du handicap dans les futurs groupements territoriaux

Place du handicap, rôle du directeur, régime indemnitaire… La première rencontre nationale des groupements de coopération sanitaire et médico-sociale ce 4 décembre a confirmé le besoin de faire évoluer les futurs groupements territoriaux.

La Commission consultative des droits de l'homme veut changer de paradigme sur le handicap

Dans un volumineux rapport sur les politiques publiques du handicap, la CNCDH pointe quelques avancées mais appelle le Gouvernement à changer de paradigme : abandonner l'approche par les déficiences au profit d'une approche par le droit.

L'intérêt du décubitus ventral sous Ecmo en cas de détresse respiratoire aiguë est limité

Selon des travaux portés par le service de médecine intensive-réanimation de l'hôpital la Pitié-Salpêtrière à Paris*, la poursuite du décubitus ventral sur un patient placé sous oxygénation par membrane extracorporelle (Ecmo) n'offre aucun bénéfice par rapport à ceux positionnés en décubitus dorsal. Cette étude a fait l'objet d'une publication le 1^er décembre dans le Journal of the American Medical Association (Jama), signale l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) dans un communiqué.

Pour…

Le dispositif d'aide médicale d'État mérite une adaptation spécifique

Il n'est pas acquis que le remplacement de l'AME par une aide médicale urgente se traduirait par des économies pour les dépenses de l'État, écrivent Claude Évin et Patrick Stefanini dans leur rapport. Le Gouvernement doit en étudier les propositions.

PLFSS 2024

Le projet de loi de financement est considéré comme définitivement adopté

Après le rejet d'une ultime motion de censure contre le Gouvernement, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2024 est considéré comme définitivement adopté par le Parlement. Revue des mesures figurant dans le texte final.

Les futurs groupements territoriaux médico-sociaux se dessinent

Le regroupement est une question de survie pour une partie des Ehpad. En complément des coopérations existantes, des groupements territoriaux sociaux et médico-sociaux vont voir le jour. La proposition de loi Bien vieillir, encore en discussion, prévoit l'obligation pour les établissements publics autonomes d'y adhérer.

Les groupements territoriaux comprendront un organe délibérant, l'assemblée générale, et un organe exécutif, la direction. (AJ Photo/BSIP)

PLFSS 2024

L'adoption définitive du projet de loi se profile désormais avec un ultime recours au 49.3

Le marathon parlementaire ponctué de nombreux recours à l'article 49.3 touche à sa fin. Le Gouvernement a engagé une dernière fois sa responsabilité sur le PLFSS pour 2024 en vue d'une adoption définitive dans les tout prochains jours.

Les députés suppriment en commission l'article transformant l'aide médicale d'État

Le 29 novembre, les députés, en commission des lois, ont voté un amendement supprimant l'article 1^er I transformant l'aide médicale d'État (AME) en aide médicale d'urgence. Un dispositif instauré par les sénateurs lors de leur examen du projet de loi Immigration et intégration (lire notre article). "La santé des uns est la santé des autres", "l'AME ne doit pas être un outil de politique migratoire"... les députés ont largement défendu l'AME, rappelant pour certains que s'il faut être vigilant, elle…

Un prix est ouvert sur les maladies rares et la douleur

La Fondation Apicil, engagée pour soulager la douleur, et la Fondation maladies rares renouent leur association pour la troisième année dans le cadre d'un prix. Il s'agit de récompenser un projet de recherche en sciences biomédicales ou en sciences humaines et sociales dans les domaines des maladies rares et de la douleur. Un soutien à hauteur de 15 000 euros sera accordé au lauréat.

Les candidatures doivent parvenir avant le 27 février 2024.