Politique

Avec 1 500 entreprises, l'Europe devance les États-Unis concernant le nombre de start-up liées à l'oncologie mais elles sont peu nombreuses à atteindre un stade avancé de croissance. La France affiche la plus forte avancée en médecine personnalisée.

Afin de renforcer la dimension stratégique du contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens, qui lie pour cinq ans un établissement de santé à son ARS, le ministère de la Santé la recentre par décret sur dix objectifs de pilotage maximum.

Avec les unités d'enseignement externalisées, les unités autisme ou les équipes mobiles d'appui à la scolarisation, le médico-social entre de plain-pied à l'école. Mais ces dispositifs ont besoin d'être plus développés et de solutions d'aval.

La ministre de la Santé Catherine Vautrin a dévoilé le plan national maladies rares 2025-2030. Doté de 223 M€ par an, il définit de nouvelles priorités comme le renforcement des biobanques et le développement des thérapies. Après la labellisation de nouveaux centres de référence, la France doit appuyer une collaboration européenne plus forte.

Après une année blanche pour cause de remaniements ministériels, le comité national de suivi de l'école inclusive reprend son rythme bimestriel. L'occasion pour les ministres concernées d'affirmer leur volonté d'impliquer le secteur médico-social.

510 personnes ont été dépistées grâce au programme de prévention de perte d'autonomie Icope, expérimenté dans deux régions en Isère. Grâce au réseau de facteurs de La Poste, le programme s'efforce d'atteindre les personnes les plus isolées.

À la veille de la présentation du quatrième plan national maladies rares ce 25 février, une étude met en lumière l'impact socio-économique des maladies rares pour les patients et la société ainsi que les principaux facteurs qui y contribuent.

Reconnaître des droits spécifiques aux parents d'enfants autistes, améliorer l'allocation journalière du proche aidant, les conditions de travail et de formation des AESH, c'est le sens de la proposition de loi déposée par trente-sept députés.

70 millions d'euros en cinq ans, dont une partie mobilisée par l'État et l'autre par le département. C'est la promesse de la convention en faveur des personnes en situation de handicap et des personnes âgées signée le 19 février à Mayotte.